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Les origines et les conséquences des plantes invasives

Introduction

Introduction possible car ces plantes sont originaires de secteurs géographiques où le climat est comparable au climat local.

Introduction volontaire

L’Homme est le principal vecteur de l’introduction volontaire. Les plantes invasives sont importées de leur milieu d’origine : pour être étudiées dans les jardins botaniques (horticulture, aquaculture), pour être utilisées comme plantes d’ornement, àcause du commerce et des échanges intercontinentaux.

Introduction involontaire

Les plantes invasives ont été introduites indirectement par l’Homme. 3 types d’introduction : migration à cause du réchauffement climatique, introduction clandestine arrivées par transport passif (avion, train ou bateau), par accident implantées par l’agriculture avec un mélange de graines.

Propagation

Propagation

La propagation ou phénomène d’envahissement est la 2ème cause de disparition de la biodiversité dans le monde. Les plantes invasives sont capables de : s’adapter à tous les milieux, résister aux perturbations. L’urbanisation est un phénomène aggravant car cela engendre des zones « nues » qui ne peuvent plus se défendre.

Impacts économiques

- Positifs : ornements, alimentaires, commerce pour leur pouvoir médicinal.

- Négatifs : gênent la navigation, diminuent les rendements agricoles (elles entrent en concurrence avec les cultures présentes), diminuent la valeur des pâturages, détruisent les berges : coûts important pour la réparation et l’entretien, engendrent des coûts liés aux problèmes de santé publique, à la détérioration des infrastructures, aux inondations.

Impacts sanitaires

- Positifs : pouvoirs médicinaux.

- Négatifs : contiennent des molécules allergènes (pollinoses : asthme, conjonctivites, sinusites …) et provoquent des brûlures.
Rhône-Alpes : plus de 100 000 personnes souffrent de problèmes liés à l’ambroisie.

Impacts environnementaux

- Positifs : leur floraison peut se révéler attractive pour certaines espèces.

- Négatifs : altèrent fortement la biodiversité car elles captent parfois l’intégralité des nutriments et de la lumière, créent un tapis végétal qui empêche les espèces indigènes de se développer, appauvrissent du sol qui devient plus sensible à l’érosion, eutrophisent le sol et comblent les zones humides, favorisent le risque inondation, sécrètent une toxine qui élimine les espèces voisines, s’hybrident avec d’autres espèces → perte de la biodiversité, modifient le fonctionnement de l’écosystème.

  • Introduction

    Introduction possible car ces plantes sont originaires de secteurs géographiques où le climat est comparable au climat local.

  • Introduction volontaire

    L’Homme est le principal vecteur de l’introduction volontaire. Les plantes invasives sont importées de leur milieu d’origine : pour être étudiées dans les jardins botaniques (horticulture, aquaculture), pour être utilisées comme plantes d’ornement, àcause du commerce et des échanges intercontinentaux.

  • Introduction involontaire

    Les plantes invasives ont été introduites indirectement par l’Homme. 3 types d’introduction : migration à cause du réchauffement climatique, introduction clandestine arrivées par transport passif (avion, train ou bateau), par accident implantées par l’agriculture avec un mélange de graines.

  • Propagation

    Propagation

    La propagation ou phénomène d’envahissement est la 2ème cause de disparition de la biodiversité dans le monde. Les plantes invasives sont capables de : s’adapter à tous les milieux, résister aux perturbations. L’urbanisation est un phénomène aggravant car cela engendre des zones « nues » qui ne peuvent plus se défendre.

  • Impacts économiques

    - Positifs : ornements, alimentaires, commerce pour leur pouvoir médicinal.

    - Négatifs : gênent la navigation, diminuent les rendements agricoles (elles entrent en concurrence avec les cultures présentes), diminuent la valeur des pâturages, détruisent les berges : coûts important pour la réparation et l’entretien, engendrent des coûts liés aux problèmes de santé publique, à la détérioration des infrastructures, aux inondations.

  • Impacts sanitaires

    - Positifs : pouvoirs médicinaux.

    - Négatifs : contiennent des molécules allergènes (pollinoses : asthme, conjonctivites, sinusites …) et provoquent des brûlures.
    Rhône-Alpes : plus de 100 000 personnes souffrent de problèmes liés à l’ambroisie.

  • Impacts environnementaux

    - Positifs : leur floraison peut se révéler attractive pour certaines espèces.

    - Négatifs : altèrent fortement la biodiversité car elles captent parfois l’intégralité des nutriments et de la lumière, créent un tapis végétal qui empêche les espèces indigènes de se développer, appauvrissent du sol qui devient plus sensible à l’érosion, eutrophisent le sol et comblent les zones humides, favorisent le risque inondation, sécrètent une toxine qui élimine les espèces voisines, s’hybrident avec d’autres espèces → perte de la biodiversité, modifient le fonctionnement de l’écosystème.

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